Jean Baptiste Alphonse Karr, né à Paris le 24 novembre 1808 et mort à Saint-Raphaël le 30 septembre 1890, est un romancier et journaliste français.
« Les amis : une famille dont on a choisi les membres. »
« La jalousie est une telle passion, qu'il vient un moment où sur la trace d'une trahison, on entrevoit, on pressent une telle jouissance dans la vengeance qu'on est désappointé de trouver innocente la femme que l'on soupçonnait. »
« Le bonheur n'est pas un gros diamant, c'est une mosaïque de petites pierres harmonieusement rangées. »
« Une belle-mère, c'est une dame qui donne sa ravissante fille en mariage à un monstre horrible et dépravé pour qu'ils fassent, ensemble, les plus beaux enfants du monde. »
« Il faut rendre à l'agriculture sa place et son rang. »
« Quelle étrange chose que la propriété, dont les hommes sont si envieux ! Quand je n'avais rien à moi, j'avais les forêts et les prairies, la mer et le ciel ; depuis que j'ai acheté cette maison et ce jardin, je n'ai plus que cette maison et ce jardin. »
« Le roman est l'histoire éternelle du cœur humain. L'histoire vous parle des autres, le roman vous parle de vous. »
« En France on parle quelquefois de l'agriculture, mais on n'y pense jamais. »
« Si l'on veut gagner sa vie, il suffit de travailler; si l'on veut devenir riche, il faut trouver autre chose. »
« L'incertitude est le pire de tous les maux jusqu'au moment où la réalité vient nous faire regretter l'incertitude. »
« L'avantage du célibataire sur l'homme marié, c'est qu'il peut toujours cesser de l'être s'il trouve qu'il s'est trompé. »
« Sans la politesse, on ne se réunirait que pour se battre. Il faut donc ou vivre seul ou être poli. »
« La toilette est la cuisine de la beauté ; chaque femme, chaque jour, imagine des ragoûts pour ses charmes, qu'elle doit servir le soir à l'admiration affamée des regard. »
« Les apôtres deviennent rares ; tout le monde est Dieu. »