Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, dite la marquise de Sévigné, née le 5 février 1626 à Paris et morte le 17 avril 1696 au château de Grignan, est une épistolière française.
« Le temps vole et m'emporte malgré moi ; j'ai beau vouloir le retenir, c'est lui qui m'entraîne. »
« La vie est courte ; c'est la consolation des misérables et la douleur des gens heureux ; et tout viendra au même but. »
« Ne lui demandez pas de se connaître, vous savez bien qu'une femme ne voit jamais les défauts de ceux qu'elle aime. »
« Les opinions des femmes ne sont que la suite de leurs sentiments. »
« Nous faisons quelquefois des conversations d'une tristesse qu'il semble qu'il n'y ait plus qu'à nous enterrer. »
« Une femme sans beauté ne connaît que la moitié de la vie. »
« Les choses n'arrivent quasi jamais comme on se les imagine. »
« La mort est affreuse quand on est dénué de tout ce qui peut nous consoler en cet état. »
« La vie est pleine de choses qui blessent le cœur. »
« On ne perd jamais que d'une voix, et cette voix fait le tout. »