Paul Michel Audiard, né à Paris le 15 mai 1920 et mort à Dourdan le 28 juillet 1985, est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse.
« Oui mais celui-là c'est un gabarit exceptionnel. Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre-étalon... Y serait à Sèvres. »
« Le repos, c'est fait pour les jeunes. Ils ont toute la vie devant eux. »
« Il y a une chose plus grave que la trahison, c'est la bêtise. »
« Le week-end en famille est une tradition plus tenace que la poule au pot. »
« Si le Morvan est frisquet, vous avez une couverture à l’arrière et Germaine a mis du thé dans le thermos. – Pourquoi pas de la kiné et un passe-montagne. On croirait vraiment que je pars au Tibet. »
« Tout le monde parle d'infarctus, de cirrhose, de cancer. Moi je dis que la pire maladie des hommes c'est de donner tout son amour à une seule bonne femme. »
« Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche. »
« Conduire dans Paris, c'est une question de vocabulaire. »
« L'éducation de la princesse, cheval, musique, peinture... Atteint un budget elyséen. Et vos dépenses somptuaires prennent des allures africaines. »
« La vérité n'est jamais amusante sinon tout le monde la dirait. »
« - Bougez pas!... Les mains sur la table! Je vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur, et des flingues de concours. - - Si ces messieurs veulent bien me les confier... »
« La jeunesse boit de l'eau pétillante et les anciens combattants, des eaux de régime. »
« Le boeuf mironton et le droit d'asile sont deux névroses typiquement françaises. »
« Je crains malheureusement qu'on ne s'attache pas à une femme avec des vertus culinaires. Avec des vertus d'aucune sorte d'ailleurs. »