« Il ne faut jamais dire aux gens: - «Ecoutez un bon mot, oyez une merveille.» - Savez-vous si les écoutants - En feront une estime à la vôtre pareille? »
« Vous savez que les hommes politiques et les journalistes ne sont pas à vendre. D'ailleurs, on n'a pas dit combien. »
« Vous savez, les idées elles sont dans l'air. Il suffit que quelqu'un vous en parle de trop près, pour que vous les attrapiez ! »
« L'instant qui vient peut être celui de votre mort, vous le savez et vous pouvez sourire : n'est-ce pas admirable ? Dans la plus insignifiante de vos actions, il y a une immensité d'héroïsme. »
« Une lettre, vous savez, ce n'est pas un écho, c'est un papillon, c'est une rencontre qui, sous l'apparence d'une circonstance fortuite, dit soudain l'essentiel, les yeux dans les yeux sans ciller. »
« Quand vous savez que la révolution ne se fera pas, vous avez moins envie d'en parler. »
« Madame cependant a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs; le matin elle fleurissait; avec quelles grâces, vous le savez: le soir nous la vîmes séchée... »
« Savez-vous bien que c'est qu'aimer ? C'est mourir en soi pour revivre en autrui. »
« Vous savez quelle différence il y a entre un con et un voleur? - - Non. - - Un voleur de temps en temps ça se repose. »
« On ne pense pas à tous les frais que nous avons, nous autres bigames. Deux mariages, vous savez, ça vaut un incendie. »
« Ne vous engagez jamais à dire tout ce que vous savez. Ca risque de vous prendre trop peu de temps. »
« Oh! ne croyez pas qu'il soit amer de se désaffectionner. Au contraire, vous ne savez pas comme c'est bon, de sentir qu'on n'aime plus. Je ne sais ce qui est le meilleur: se détacher, ou qu'on se détache de vous. »
« En amour, si vous n'êtes pas aveugle, vous ne savez pas où vous allez. »
« Savez-vous, pour comble de sottises, que cet article Genève a pensé être dénoncé au parlement, à ce parlement plus intolérant et plus ridicule encore que le clergé qu'il persécute? »