« Un repas, aussi frugal soit-il, est un instant de rencontre. Il peut être une occasion de joie et de communion, unissant profondément les gens. »
« A tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s'asseoir. La place demeure vide, mais le couvert reste mis. »
« On fait sa première communion pour en finir avec la religion. On passe son bac pour en finir avec les études. On se marie pour en finir avec l'amour. »
« En France, on fait sa première communion pour en finir avec la religion; on prend son baccalauréat pour en finir avec les études, et on se marie pour en finir avec l'amour... Et on fait son service pour en finir avec le devoir militaire. »
« (La lâcheté est) chercher l'approbation, non la vérité; la conformité, non la communion. »
« Les repas de famille ne consistent pas à se manger entre parents. »
« Un discours à la fin d'un repas doit être comme la robe d'une jolie femme. Assez long pour couvrir l'essentiel. Assez court pour rester intéressant. »
« Une amitié véritable, c'est celle qui repose avant tout sur la communion aux mêmes principes et à la poursuite d'un même idéal. »
« Partager un repas avec quelqu'un est un acte intime qui ne devrait pas être pris à la légère. »
« Le vin est le symbole et le moyen de la communion sociale : la table entre tous les convives établit le même niveau et la coupe qui y circule nous pénètre envers nos voisins, d'indulgence, de compréhension et de sympathie. »
« Un bon repas adoucit l'esprit et régénère le corps. De son abondance découle une bienveillance chaleureuse. »
« Le vin stimule l'appétit et donne du goût à la nourriture. Il favorise les discussions, l'euphorie et peut transformer un simple repas en événement mémorable. »
« Le vin est la partie intellectuelle d'un repas. Les viandes et les légumes n'en sont que la partie matérielle. »
« L'amour, n'est-il donc qu'une idée, qu'un rêve irréalisable ? Une recherche désespérée de la perfection ? Ne peut-il pas se traduire par des gestes imparfaits, préparer un repas, aller travailler, sans pour autant perdre sa splendeur ? »