« J'ai la nostalgie d'une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes... Une route qui conduise aux confins de la terre... Où l'esprit est libre... »
« Les villes portent les stigmates des passages du temps, occasionnellement les promesses d'époques futures. »
« Il faut être nomade, traverser les idées comme on traverse les villes et les rues. »
« Le monde est si vide si l'on n'y imagine que montagnes, fleuves et villes, mais d'y savoir quelqu'un avec qui l'on s'entend, avec qui l'on peut vivre en silence, c'est ce qui fait de ce globe un jardin habité. »
« Le rêve de la vie champêtre a été de tout temps l'idéal des villes et même celui des cours. »
« Dans ce singulier pays, où les hommes ne sont certainement pas à la hauteur des institutions, tout se fait "carrément", les villes, les maisons et les sottises. »
« Je tiens pour un malheur public qu'il y ait des grammaires françaises. »
« Tout devient patrimoine: l'architecture, les villes, le paysage, les bâtiments industriels, les équilibres écologiques, le code génétique. »
« Le boeuf mironton et le droit d'asile sont deux névroses typiquement françaises. »
« Qu'il est difficile d'être oublié ! Pendant des années, parfois pendant des siècles, les écrits témoins ne cessent de surgir. Comme les villes mortes sortent des sables, les paquets de lettres jaunies émergent des coffrets. »
« Les hommes ne sont point faits pour être entassés en fourmilières mais épars sur la terre qu'ils doivent cultiver. Plus ils se rassemblent, plus ils se corrompent.... Les villes sont le gouffre de l'espèce humaine. »
« Les villes devraient être bâties à la campagne : l'air y est tellement plus pur. »
« Les villes sont la nature façonnée par l'homme, à son image et à sa ressemblance. »
« Jamais peut-être il n'y a eu un plus triste exemple de la jactance et de la légèreté françaises. »