« Les jaloux sont comme les fous et les ivrognes, ils ne se rendent jamais compte de leurs souffrances. La jalousie provient d'un manque de confiance non pas envers l'autre, mais envers soi-même. »
« Jalousie nous dévore. - Nous sommes son plat du jour. »
« La jalousie. Faire semblant de ne pas s'intéresser. Se duper soi-même. Cacher son mal pour mieux l'ignorer. »
« L'enseignant, fier de ses manuels, défend jalousement ce qu'il considère comme son équipement professionnel indispensable, tandis que l'étudiant se prend à haïr même le laboratoire qu'il définit bientôt comme un lieu de travail scolaire. »
« La Jalousie est un vilain défaut mais c'est aussi une belle preuve d'amour !!! »
« Sur la place taillée en mesquine pelouse - Square où tout est correct, les arbres et les fleurs - Tous les bourgeois poussifs qu'étranglent les chaleurs - Portent, les jeudis soir, leurs bêtises jalouses. »
« Les secondes sont jalouses des minutes. Les semaines envieuses des années et les siècles regrettent les instants. »
« La féodalité a été fondée sur des sentiments nobles: loyauté, protection, service. Les autres systèmes politiques se fondent sur des sentiments méprisables: égoïsme, convoitise, jalousie, lâcheté. »
« La curiosité naît de la jalousie. »
« Tel est bien le malheur profond de la jalousie que de ne pouvoir s'exprimer sans attirer la haine ou le mépris. »
« Il faut que tu saches qu'en croyant à la corporéité ou en attribuant à Dieu une des conditions du corps, tu le rends jaloux, tu l'irrites, tu allumes le feu de sa colère, tu es adversaire, ennemi hostile. »
« La jalousie occupe l'esprit encore plus complètement qu'un travail intellectuel passionné. L'esprit n'a plus une seconde de loisir. Celui qui est en proie à la jalousie ignore l'ennui. »
« Dans l'amour véritable, il n'y a pas de place pour les divisions du temps, de la pensée, et de toutes les complexités de la vie, ni pour toutes les misères, les confusions, l'incertitude, les jalousies et les angoisses humaines. »
« Celui qu'entoure la flamme de la jalousie, celui-là en fin de compte, pareil au scorpion, tourne contre lui-même son dard empoisonné. »