« On mettra pas nos refrains dans les musées.Les paroles, on les écrit pour qu'elles s'envolent.Les musiques, on les écrit pour s'amuser. »
« Après la guerre, deux choix s'offraient à moi: finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix: je ne suis plus député! »
« Le chocolat est bon avec... De la vanille, du lait, des fraises, de la crème glacée, du chocolat ! »
« Pour l'homme, la femme frigide est à l'image d'une piscine trop fraîche : on met du temps à y entrer. Pour en ressortir très vite ! »
« Oui, c'est un pur miracle, que par des mots enterrés dans des livres, l'on puisse raviver une source, rafraîchir un jardin. »
« Il en est du romantisme fiévreux comme de la moule pas fraîche: quand on en abuse, ça fait mal au cœur. »
« Qui ne reculerait d'horreur et ne choisirait la mort, si on lui offrait le choix entre mourir et redevenir enfant! »
« Les pensées sont comme les fleurs, celles qu'on cueille le matin se conservent le plus longtemps fraîches. »
« Ouvrez les yeux! Le monde est encore intact; il est vierge comme au premier jour, frais comme le lait! »
« Elle a passé, la jeune fille - Vive et preste comme un oiseau: - A la main une fleur qui brille, - A la bouche un refrain nouveau. »
« La jeunesse, c'est plus qu'une peau fraîche ! C'est un état d'esprit ! C'est une vigueur, une pensée possiblement aussi fugitive que la beauté ! »
« Autrefois les fous, victimes de Dieu, souffraient de délire religieux. Aujourd'hui, victimes du bonheur obligatoire, ils souffrent de leur sexe. »
« En regard du langage parlé, les mots écrits ressemblent un peu à des fruits en conserve, par rapport à des fruits frais. »
« Qu'es-tu devenue, toi que j'aimais, qui fus pimpante et pétillante, bouche de fraise et nez coquin, qu'est-ce que tu fous sous ton cyprès? Qu'es-tu devenue? Oh je sais. Tu es devenue: azote 12%, acide phosphorique 17%, sels de phosphate 31%, âme zéro. »