« Nous mourons par manque d'amour, par une absence, par le désespoir. Ce qui nous retiens à la terre, c'est l'amour, c'est la vie. La mort a été construite avec le sentiment de refoulement dans l'homme. Nous avons fabriqué la mort. »
« Chacun admire le passé, regrette le présent et tremble pour l'avenir. »
« Les types n'arrivent pas à admettre qu'ils puissent rester toute leur vie avec la même femme. La solution est simple : il faut qu'elle soit bonniche et putain, vamp et lolita, bombe sexuelle et vierge effarouchée, infirmière et malade. »
« Et pendant que les années passent, les idées marchent. »
« Il est tellement difficile de vivre avec l'être de son choix. Le temps use nos sentiments les plus aigus. »
« Les lieux meurent comme les hommes, quoiqu'ils paraissent subsister. »
« L'ange ne diffère du démon que par une réflexion qui ne s'est pas encore présentée à lui. »
« Le langage n'exprime pas tout de l'homme. La pensée verbale n'est peut-être pas la forme essentielle et ultime de l'intelligence humaine. »
« Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient davantage. »
« Les gens qui se divertissent trop s'ennuient. »
« La nature de l'énergie qu'il faut déployer lors d'une campagne électorale a beaucoup plus à voir avec le goût du pouvoir qu'avec le sens du bien public. »
« Personne ne peut m'offrir de plus beau cadeau que celui de me sentir aimée. »
« Il n'y a pas de vrai bonheur sans qu'il s'y mêle un petit peu le sens du malheur... »
« Au contraire de l'Européen classique, le Négro-Africain ne se distingue pas de l'objet, il ne le tient pas à distance, il ne le regarde pas, il ne l'analyse pas. Il le touche, il le palpe, il le sent. »