« Combien on a tort de croire à ses chagrins éternels ! Une âme aimante parvient toujours à guérir le cœur le plus meurtri. »
« L'avenir est une tradition. Combien de temps se maintiendra-t-elle ? »
« La tragédie de l'amour tient à ce qu'il n'échappe pas à la dimension temporelle. Quand on partage la vie d'un être aimé, il y a une cruauté toute spéciale à constater combien nos anciennes amours nous sont devenues indifférentes. »
« Oh ! Pour faire, Seigneur, un seul de tes sourires, Combien faut-il donc de nos pleurs ? »
« Je fais dire aux autres ce que je ne puis si bien dire tantôt par faiblesse de mon langage, tantôt par faiblesse de mes sens. Je ne compte pas mes emprunts, je les pèse. »
« Si tu veux savoir combien de gens te regretteront, plante ton doigt dans la mare, retire-le et regarde le trou. »
« Combien de vertus apparentes cachent souvent des vices réels ! Le sage est sobre par tempérance, le fourbe l'est par fausseté. »
« La douleur physique existe pour nous rappeler que nous sommes mortels. Quand on souffre dans notre corps, on découvre combien sotte et vaine est la vanité. »
« Pourquoi faut-il que nous ayons assez de mémoire pour retenir jusqu'aux moindres particularités de ce qui nous est arrivé et que nous n'en ayons pas assez pour nous souvenir combien de fois nous les avons contées à une même personne. »
« Combien de filles à qui une grande beauté n'a jamais servi qu'à leur faire espérer une grande fortune ! »
« Si vous voulez quelque chose, peu importe combien de temps, combien de vies, vous mettrez à l'accomplir. L'important est d'essayer, d'essayer encore, jusqu'à ce que vous atteigniez votre but. »
« L'honnête homme ment dix fois par jour, l'honnête femme vingt fois par jour, l'homme du monde cent fois par jour. On n'a jamais pu compter combien de fois par jour ment une femme du monde. »
« Il faut faire sauter ce qui se fige, ce qui pèse et qui s'installe. Perséverer dans la percée. Ne pas craindre le chagrin d'une ébréchure. Renverser père et mère pour le bonheur d'une ascension. »
« Ce n'est quelquefois qu'en perdant ceux qu'on aime qu'on sent combien on les aimait. »