« J'aime les femmes chaudes et le café froid, car l'un et l'autre me permettent de gagner du temps ! »
« Devenir adulte, c'est aussi se rendre à l'évidence, lâcher ses rêves d'enfant pour se laisser menotter par la réalité. »
« A la mélancolie d'une dernière représentation s'ajoute la tristesse que l'on ne pourra pas, demain, être meilleur. »
« Un roman naît de la découverte qu'en fait l'auteur en l'écrivant. »
« Les nuits ne portent pas conseil. Elles affûtent les résolutions et fournissent les raisons nécessaires. »
« L'intelligence est un double mal : elle fait souffrir et personne ne songe à la considérer comme une maladie. »
« Une chose que l'on peut admettre, c'est que fréquenter de grandes oeuvres, se servir de son esprit, lire les ouvrages de génies, si cela ne rend pas intelligent à coup sûr, cela rend le risque plus probable. »
« L'égoïste est celui qui n'emploie pas toutes les minutes de sa vie à assurer le bonheur de tous les autres égoïstes. »
« Ce qu'on cherche à comprendre, souvent, on le tue, car, comme chez l'apprenti médecin, il n'y a pas de véritable connaissance sans dissection. »
« Dans la mort, les plus à plaindre sont ceux qui restent, dit-on. Bon, demandez leur donc de changer. »
« On nous dit qu'il ne faut pas dormir avec la femme de ses amis. Bon. Mais alors... Avec qui ? »
« C'est de l'identité qu'est née la différence. »
« L'école contribue à la prospérité des sociétés, à l'élimination des discriminations de toutes sortes, à la défense de la paix et du bien commun, à la meilleure compréhension des peuples. »
« Le dernier refuge de la pensée gnostique, ce sont les fantasmes de la schizophrénie. »