« Il ne manque à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler. »
« Il n'est pas nécessaire de méditer au nom de Jésus, de Bouddha ou de qui que ce soit. Il suffit de méditer, tout simplement. Méditer. »
« Méditer sur la bêtise humaine est décidément une occupation fort accaparante. »
« Ah! mon maître, on a beau réfléchir, méditer, étudier dans tous les livres du monde, on n'est jamais qu'un petit clerc quand on n'a pas lu dans le grand livre... »
« Toute vue de choses qui n'est pas étrange est fausse. Si quelque chose est réelle, elle ne peut que perdre de sa réalité en devenant familière. Méditer en philosophe, c'est revenir du familier à l'étrange, et dans l'étrange affronter le réel. »
« Mieux vaut étudier que jeûner tout un jour et veiller toute une nuit pour méditer en vain. »
« Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille, s'appelât travailler. »
« Après avoir discrédité la vertu, ce siècle est parvenu à discréditer les vices. Les perversions sont devenues des parcs suburbains que fréquentent en famille les foules dominicales. »
« Il faut méditer sur ce qui procure le bonheur, puisque quand on l'a, on a tout, et lorsqu'il manque, nous faisons tout pour l'avoir. »
« Couvent. Lieu de recueillement pour les femmes qui aspirent à méditer dans la paix sur le vice de l'oisiveté. »
« Balzac. Un de nos plus grands écrivains et le premier entre les bons si on consulte l'ordre du temps. Utile à lire, à méditer, et excellent à admirer, également propre à instruire et à former par ses défauts et par ses qualités. »
« L'univers est une énigme bouleversante: dès que je m'interroge à son sujet, je me sens plus vivant. Peu importe que nous ne puissions pas répondre à toutes les questions: d'y méditer, cela suffit. »
« Imprudentes et vaines réflexions que celles qu'inspire le malheur! - Pour méditer sagement, il faut des jours heureux. »
« Je ne sais pas quelle conjuration de cagots et de vieilles filles a pu réussir, en deux siècles, à discréditer le mot plaisir. »