« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« A vouloir écarter le pire, on chasse aussi le meilleur. C'est aussi évident qu'à trop craindre la mort on oublie de vivre et qu'à la fin on meurt quand même. »
« C'est l'inconnu qui m'attire. Quand je vois un écheveau bien enchevêtré, je me dis qu'il serait bien de trouver un fil conducteur. »
« Tu as deux poumons pour respirer, deux yeux pour voir, deux jambes pour marcher mais tu n'as qu'un cœur pour aimer, prends en soin... »
« Une vie sans femme. Il n'y a pas de meilleur moyen pour devenir fou. »
« Dans la vie il faut se battre, se défendre, conquérir, réaliser ses rêves et ses désirs. »
« Les quinquagénaires sont des impatients. Comme si l'approche de la vieillesse nous donnait des ailes. Des ailes qui ne procurent pas l'assurance de voler bien haut. »
« L'âge entraîne une raréfaction des liens aux autres, puisque des compagnons disparaissent, alors que l'aptitude à contracter de nouveaux liens, d'autres amitiés, diminue. La vieillesse est seule. »
« Citation de citation de citation. Ainsi s'écrivent les livres. »
« Pour faire un jardin, il faut un morceau de terre et l'éternité. »
« Il faut croire à la vie avant de croire en Dieu ; accepter tous les risques de la liberté pour oser le pari de la foi. Elle n'est rien si elle n'inclut la possibilité, à chaque instant éprouvée, de ne pas croire. »
« Se faire remarquer, se faire admirer. De là, à se faire aimer, il n'y a qu'un pas. »
« La philosophie est la discipline qui consiste à créer des concepts. »
« L'intérêt pour le football n'est le critère de rien, ni d'une distinction sociale, ni d'une discrimination intellectuelle. »