« Le tableau est une transposition de la réalité. »
« Un militant sans cœur est un être dangereux; un militant sans sexe, un malade. »
« On doit prendre les petites décisions avec sa tête et les grandes avec son cœur. »
« La mémoire de ma mère et ses enseignements ont été, après tout, le seul capital dont j'ai disposé pour affronter la vie. Et ce capital m'a fait devenir ce que je suis. »
« On peut toujours interpréter ses rêves et ceux d'autrui ; dans ce domaine aux limites imprécises, une interprétation en vaut une autre, et la logique en est habituellement pour ses frais. »
« Notre vie est tout autant sans fin que notre champ de vision est sans limite. »
« Prenez le temps de réfléchir, mais quand vient le moment de passer à l'action, cessez de penser et allez-y ! »
« Si vous gâchez l'éducation de vos enfants, ce que vous pouvez réussir à côté importe peu ! »
« Un bleuet est de trop dans un champ de blé, et pourtant qui peut nier que c'est à lui que celui-ci doit son éclat ? »
« La mort n'est pas un événement de la vie. La mort ne peut être vécue. »
« Le langage des philosophes est un langage déjà déformé comme des chaussures trop étroites. »
« Un critique a écrit que mes tableaux n'avaient ni commencement ni fin. Il ne l'entendait pas comme un compliment, or c'en était un. C'était même un beau compliment. Seulement il ne le savait pas. »
« L'on perd bientôt sa route à chercher trop de voies. »
« La maternité, c'est comme l'Albanie. On ne peut pas se fier à ce qu'en dise les livres, il faut y aller. »