« Je pleurais parce que je n'avais pas de souliers, jusqu'au jour où j'ai rencontré quelqu'un qui n'avait pas de pieds. »
« Je préfère être en retard dans ce monde qu'en avance dans l'autre. »
« Si Dieu nous prend un à un nos amis, c'est pour faire d'eux les étoiles de notre espérance et de notre ciel. »
« Sans l'incertitude l'aventure n'existerait pas. »
« Marcher comme une feuille morte tombée de l'arbre que le vent emporte, sans savoir si c'est le vent qui vous porte ou si vous portez le vent... »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« Écrire consiste à rêver avec une intensité telle que nous parvenons à arracher au monde un morceau. »
« Vécue, la souffrance n'en est pas pour autant reconnue. »
« Marcher vraiment, c'est aller au rythme de la fleur qui s'ouvre. »
« Celui qui vit de peu vit beaucoup. »
« Dieu ne nous demande jamais que le oui que nous pouvons donner à ce moment-ci de notre vie. »
« L'action est comme un instant qui durerait sans succession. »
« Au fond la beauté est éphémère. Et à force de la voir, on ne la voit plus. »
« Le propre du téléphone, c'est de sonner à l'improviste. »