« La comédie critique, la tragédie exalte. C'est ce qui fait sans doute la supériorité de l'art tragique sur l'art comique. »
« Le secret d'un bon discours, c'est d'avoir une bonne introduction et une bonne conclusion. Ensuite, il faut s'arranger pour ces deux parties ne soient pas très éloignées l'une de l'autre. »
« Le drame de la belle-mère, ce personnage comique du répertoire, c'est qu'il est l'image de la durée... »
« Les poètes, les artistes créent des fantômes qui parfois deviennent immortels dans la tradition des hommes. Le critique, comme le philosophe, crée des valeurs. L'oeuvre d'art ne conclut pas. Là où il y a conclusion, il y a critique. »
« Je ne sais pas de spectacle plus sain, d'un comique plus réconfortant, que celui d'un monsieur recevant de main de maître une beigne qu'il avait cherché. »
« Cette nuit, en regardant le ciel, je suis arrivé à la conclusion qu'il y a beaucoup plus d'étoiles qu'on en a besoin. »
« L'art du clown va bien au-delà de ce qu'on pense. Il n'est ni tragique ni comique. Il est le miroir comique de la tragédie et le miroir tragique de la comédie. »
« L'art du comique, c'est donner l'impression qu'on fait n'importe quoi quand on a travaillé dix heures sur une mimique ou une phrase. »
« Les biographies se terminent généralement par la mort du sujet étudié, conclusion naturelle dont ne bénéficient pas les autobiographies. »
« Le secret d'une bonne vieillesse n'est rien d'autre que la conclusion d'un pacte honorable avec la solitude. »
« Le roman est un genre faux, parce qu'il décrit les passions pour elles-mêmes: la conclusion morale est absente. Décrire les passions n'est rien; il suffit de naître un peu chacal, un peu vautour, un peu panthère. »
« L'amour physique, cette énergique conclusion des plus chastes impressions de l'âme. »
« La logique des passions renverse l'ordre traditionnel du raisonnement et place la conclusion avant les prémisses. »
« Le comique, ce n'est pas seulement du talent, mais c'est surtout un don, une façon de sentir, de pouvoir comprendre et interpréter ! »