« Enfermé dans la souffrance, isolé dans le plaisir, solitaire dans la mort, l'homme est condamné, par sa condition même, à ne jamais satisfaire un désir de communication auquel il ne saurait renoncer. »
« Qu'il choisisse l'imaginaire ou que l'imaginaire le choisisse, c'est toujours contre le réel que l'écrivain travaille et de façon à l'oublier. »
« Les cartes postales, c'est comme les cartes de Noël : de la politesse à bon marché. »
« Le charme et la beauté c'est la fleur de la peau, la danse qui flambe dans un oeil, la lumière que porte un sourire. »
« A tout remettre en question on devient hostile à soi-même, on se prend en dérision, on s'essouffle sur une détermination sans objet. »
« Quelquefois l'échec est nécessaire à l'artiste. Cela lui rappelle que l'échec n'est pas un désastre définitif. Et cela le libère de la tapageuse contrainte du perfectionnisme. »
« La notion de liberté n'est pas une notion, c'est une nostalgie de la mémoire. »
« Nous avons à vivre non point dans un monde nouveau dont il serait possible au moins de faire la description, mais dans un monde mobile, c'est-à-dire que le concept d'adaptation doit être généralisé pour rester applicable à nos sociétés en accélération. »
« Regarder un atome le change, regarder un homme le transforme, regarder l'avenir le bouleverse. »
« Il y a tant de vagues et de fumée qu'on arrive plus à distinguer le blanc du noir et l'énergie du désespoir. »
« Loin de vieillir, l'humanité devient progressivement de plus en plus jeune. »
« Y'a tant de vagues, et tant d'idées qu'on arrive plus à décider le faux du vrai et qui aimer ou condamner. »
« De nos jours - Y'a des accidents d'amour - De nos jours - Y'a des passions qui tournent court. »
« Moins de haine, moins de guerre - Moins de larmes et moins de sang - Moins d'espoir d'être puissant - Moins de pouvoir et moins d'argent - Et plus de sentiments. »