« Le foie de mon ennemi est le fourreau de mon épée. »
« Qui tire l'épée contre son prince doit jeter le fourreau. »
« L'épée ne s'arrête pas juste à la limite du droit ; il est de sa nature de rentrer malaisément dans le fourreau quand elle s'est une fois échauffée dans la main de l'homme. »
« Disons, en passant, que si les Français ont eu la réputation pendant si longtemps d'être le peuple le plus poli de la terre, - c'est parce qu'ils portaient l'épée - et la tiraient facilement du fourreau. »
« L'âme est une épée, le corps n'est qu'un fourreau. »
« L'épée use le fourreau, dit-on quelquefois. Voilà mon histoire. Mes passions m'ont fait vivre, et mes passions m'ont tué. »
« La France fut faite à coups d'épée. La fleur de lys, symbole d'unité nationale, n'est que l'image d'un javelot à trois lances. »
« Chaque promesse non tenue est une nuée sans pluie, une épée sans fil, un arbre sans fruit. »
« La philosophie, bien loin d'être, comme l'imbécile méchanceté l'en accuse, l'ennemie des rois et des peuples, est au contraire leur sauvegarde la plus assurée, par l'horreur qu'elle inspire pour la tyrannie qui rend les souverains odieux. »
« Le glaive de la justice n'a pas de fourreau. »
« O rage ! O désespoir ! O vieillesse ennemie !N'ai-je donc tant tant vécu que pour cette infamie ? »
« La langue est l'épée de la femme car sa faiblesse physique l'empêche de se battre avec ses poings et sa faiblesse intellectuelle la pousse à renoncer à donner des preuves : il ne lui reste donc que l'abondance des mots. »
« Il y a un plaisir délicieux à serrer dans ses bras une femme qui vous a fait beaucoup de mal, qui a été votre cruelle ennemie pendant longtemps et qui est prête à l'être encore. »
« Le guerrier ne fait que porter l'épée pour le compte des autres. C'est un seigneur, puisqu'il accepte encore de mourir pour des fautes qui ne sont pas les siennes, en portant le poids du péché et de l'honneur des autres. »