« On cesse de s'aimer si quelqu'un ne nous aime. »
« La mémoire est dans le cœur. »
« La mort nous égale tous ; c'est où nous attendons les gens heureux : elle rabat leur joie et leur orgueil, et console par là ceux qui ne sont pas fortunés. »
« Comme il serait préférable que nous comprenions que nous sommes solitude. »
« Une femme ne communique jamais si promptement la perversité de son cœur qu'à une autre femme. »
« Les premiers sentiments sont toujours les plus naturels. »
« La poésie est le langage naturel de tous les cultes. »
« Comprendre, c'est pardonner. »
« Il y a, dans le sentiment même des regrets, quelque chose de doux et d'harmonieux qu'il faut tâcher de faire connaître à ceux qui n'ont encore éprouvé que les amertumes. »
« Si l'on avait autant de soin d'être ce qu'on doit être que de tromper les autres en déguisant ce que l'on est, on pourrait se montrer tel qu'on est, sans avoir la peine de se déguiser. »
« La respiration est le berceau du rythme. »
« La politique vue avec la perspective d'un intellectuel diffère beaucoup de la pratique. Dans un cas, c'est un exercice de la pensée critique, dans l'autre une lutte pour le pouvoir. »
« La littérature reste une des meilleures garanties pour espérer une sorte de progrès dans nos sociétés hypertechniques. »
« Il n'y a rien de plus vrai que l'amitié se réchauffe quand on est dans les mêmes intérêts. »