« Tout délai nous est long qui retarde nos joies. »
« A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons. »
« Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! »
« Bien qu'on ait du cœur à l'ouvrage. L'Art est long et le temps est court. »
« Le femme est l'être qui projette la plus grande ombre ou la plus grande lumière dans nos rêves. »
« Sans mors, sans éperon, sans bride, partons à cheval sur le vin pour un ciel féerique et divin ! Nous fuirons sans repos ni trêve, vers le paradis de mes rêves ! »
« Homme libre, toujours tu chériras la mer ! »
« Crois-moi, chaque cœur a ses chagrins secrets, que le monde ne connaît pas ; et souvent nous jugeons qu'un homme est froid alors qu'il est seulement triste. »
« On est jamais excusable d'être méchant, mais il y a quelque mérite à savoir qu'on l'est ; et le plus irréprochable des vices est de faire le mal par bêtise. »
« Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s'amuser. »
« Le destin est souvent cruel, mais l'espoir est là, offert à toutes les âmes, relevant l'énergie perdue et le courage faibli ! »
« L'homme aime tant l'homme que, quand il fuit la ville, c'est encore pour chercher la foule, c'est à dire pour refaire la ville à la campagne. »
« La littérature est le chant du cœur du peuple et le peuple est l'âme de la littérature. »
« La modernité, c'est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel et l'immuable. Il y a eu une modernité pour chaque peintre ancien. »