« Plus que la faim, la soif, le chômage, la souffrance d'amour, le désespoir de la défaite, le pire de tout, c'est de sentir que personne, mais absolument personne en ce monde, ne s'intéresse à nous. »
« C'est grave de s'obliger à ressembler à tout le monde : cela provoque des névroses, des psychoses, des paranoïas. »
« Dans les contes pour enfants, les princesses donnent des baisers aux crapaud. Dans la vie réelle, les princesses embrassent les princes et ceux-ci se transforment en crapauds. »
« Une chute du troisième étage fait tout autant de dégâts qu'une chute du centième étage. Si je dois tomber, qu'au moins je tombe de très haut. »
« Clore des cycles, fermer des portes, finir des chapitres - peu importe comment nous appelons cela, l'important est de laisser dans le passé les moments de la vie qui sont achevés. »
« Dans la contradiction, l'amour se renforce. Dans la confrontation et la transformation, l'amour se préserve. »
« On ne s'aperçoit pas toujours que l'on parcoure chaque jour un nouveau chemin. »
« L'intuition n'a rien à voir avec la routine, elle relève d'un état d'esprit qui est au-delà de la technique. »
« La seule utilité réelle de la cravate, c'est qu'on la retire, sitôt rentré chez soi, pour se donner l'impression d'être libéré de quelque chose, mais on ne sait pas de quoi. »
« Celui qui est capable de maîtriser son cœur est capable de conquérir le monde. »
« Très souvent, au cours de notre existence, nous voyons nos rêves déçus et nos désirs frustrés, mais il faut continuer à rêver, sinon notre âme meurt. »
« L'homme ne pourra jamais cesser de rêver. Le rêve est la nourriture de l'âme comme les aliments sont la nourriture du corps. »
« Une quête commence toujours par la chance du débutant. Et s'achève toujours par l'épreuve du conquérant. »
« Tous les abrutis devraient avoir écrit sur leur carte de visite qu'ils sont des abrutis. Comme ça, on saurait à qui l'on s'adresse. »