« Je ne m'en connais d'autres que ceux de l'Eglise et de l'Etat. »
« L'automne est le printemps de l'hiver. »
« Mettez une plume d'oie dans la main d'un moraliste qui soit écrivain de premier ordre. Il sera supérieur aux poètes. »
« Un jeu de mots est comme une paire de chaussures ; quand il est usé, on le ressemelle et il fait encore bon profit. »
« Décrire les passions n'est rien ; il suffit de naître un peu chacal, un peu vautour, un peu panthère. »
« On ne meurt pas d'un trou à son pantalon, sauf si l'on est scaphandrier. »
« Les grands embrasements naissent de petites étincelles. »
« Ne pleurez pas en public. »
« Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, quand par hasard tu t'es coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas. »
« Les crayons c'est pas du bois et de la mine, c'est de la pensée par les phalanges. »
« La jeunesse écoute les conseils de l'âge mûr. Elle a une confiance illimitée en elle-même. »
« Le doute est un hommage rendu à l'espoir. »
« Nul ne voit jamais si clair aux affaires d'autrui que celui à qui elles touchent le plus. »
« En matière d'Etat, il faut tirer profit de toutes choses, et ce qui peut être utile ne doit jamais être méprisé. »