« Dieu pleure. Le vrai. A cause du faux. Qui dirige le monde. »
« Le bonheur du moment, c'est ne pas vouloir être quelqu'un d'autre, ailleurs, à un autre moment. »
« On peut toujours interpréter ses rêves et ceux d'autrui ; dans ce domaine aux limites imprécises, une interprétation en vaut une autre, et la logique en est habituellement pour ses frais. »
« Lorsqu'on cesse de boire à la source des rêves, le développement ne se fait qu'à moitié. En haut, quelque chose manque. »
« Heureusement qu'ils ne fonctionnent pas, les régimes ; sinon, depuis le temps qu'on en fait, il y a longtemps que nous aurions atteint le but ultime : le poids zéro ! »
« Les sentiments, c'est pour ceux qui n'admettent pas qu'il n'y a pas de raison ! »
« Au galop ! Jouir, vivre ! Nous sommes mortels ! »
« Telle est notre malédiction, d'aspirer sans cesse à l'absolu, de le perdre sans cesse et d'y survivre toujours. »
« Dans un monde où les croyances religieuses s'effritent, où les idéologies négligent la recherche de l'absolu, la psychanalyse remplace peut-être la quête du Graal. »
« Le clonage véritable n'est pas dans les éprouvettes mais sur nos murs, dans nos magasins et sur nos journaux ! »
« Compter, toujours compter, les heures, les minutes, c'est ce qui nous perd. »
« Qui a le pouvoir de changer le cours des chemins invisibles ? On ne peut que suivre celui qui cherchent nos pas. »
« L'homme adulte ne se caractérise pas comme celui qui a des relations sexuelles mais comme celui qui a des relations sociales : on peut parvenir en culottes courtes jusque dans l'intimité d'une fille, mais il faut des pantalons pour aller dans le monde. »
« L'ami est d'abord celui dont on se raconte qu'il est votre ami. »