« "Les femmes sont dépensières" c'est ce qu'on dit quand une femme s'achète un maillot de bain. Un homme qui s'achète une Porsche assouvit une passion, faut pas confondre ! »
« Les morceaux choisis, c'est toujours les morceaux choisis par un autre. »
« Les liens invisibles laissent les marques les plus profondes. »
« Les vérités historiques sont rarement bonnes à entendre lorsqu'elles ébranlent les fondements de la mémoire collective. »
« Dès qu'on parle une langue étrangère, les expressions du visage, des mains, le langage du corps changent. On est déjà quelqu'un d'autre. »
« Les querelles idéologiques sont quelquefois moins sérieuses que les luttes d'intérêt. »
« Si ce sont les choses qui, dans la société capitaliste à son stade avancé, symbolisent l'argent, qu'en conclure ? Que les mots qui représentent les choses ne représentent plus que de l'argent ? Impeccable syllogisme. Que la société médiatique a accompli. »
« Autrui, obstacle à la création, est le paradoxal destinataire de l'art. »
« Rien ne dure toujours, nous sommes voués à la nouveauté. »
« Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin. »
« La création n'avait d'autre utilité, d'autre vocation que de dire la liberté intime, profonde, de l'être humain, par-delà tout ce qui tend à la réduire, à la détruire même. »
« Mon cœur, mon tout, ma lumière, - Vivons ensemble, vivons, - Et suivons - Les doux sentiers de la jeunesse. »
« En amitié comme en amour, les illusions jouent parfois un rôle central. »
« Ecrire pour moi, m'enfoncer dans ce qu'on appelle l'imaginaire, n'était-ce pas une façon de renverser un monde renversé, celui de l'enfant confondu à sa génitrice : pour retrouver, par la fiction, le réel ? »