« Ma voiture, mon appartement, ma réussite, ma Ligne, ma sexualité.L'échec est inavouable. »
« La violence verbale est la première étape de la violence générale contre les femmes. »
« Remplir les journées, les soirées, occuper les jambes, les têtes, les mains, les ventres, les yeux ! Surtout ne pas se poser de questions. Rien qui puisse arrêter le va-et-vient général : consommer, produire, consommer, produire ! »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« "Les femmes sont dépensières" c'est ce qu'on dit quand une femme s'achète un maillot de bain. Un homme qui s'achète une Porsche assouvit une passion, faut pas confondre ! »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« Les morceaux choisis, c'est toujours les morceaux choisis par un autre. »
« On se réjouissait à ta naissance et tu pleurais; vis de manière que tu puisses te réjouir au moment de ta mort et voir pleurer les autres. »
« Les liens invisibles laissent les marques les plus profondes. »
« A l'auberge de la décision, les gens dorment bien. »
« Les vérités historiques sont rarement bonnes à entendre lorsqu'elles ébranlent les fondements de la mémoire collective. »
« La beauté d'une femme est l'aspect éclatant de la lumière de Dieu. »
« La philosophie de l'artillerie : Cogito ergo boum. »
« Dès qu'on parle une langue étrangère, les expressions du visage, des mains, le langage du corps changent. On est déjà quelqu'un d'autre. »