« Dieu qui nous avait donné les joies de la terre, voulut aussi nous donner les joies de l'esprit. Avec la douleur, Dieu montre à ceux qui veulent le comprendre le chemin qui mène à l'esprit. »
« Qui nous a donné le sentiment du juste et de l'injuste? Dieu, qui nous a donné un cerveau et un cœur. Mais quand votre raison vous apprend-elle qu'il y a vice et vertu? Quand elle nous apprend que deux et deux font quatre. »
« Personnellement, je suis toujours prêt à apprendre, bien que je n'aime pas toujours que l'on me donne des leçons. »
« Quand un homme, enseignant ce qu'il ne sait pas à quelqu'un qui n'a aucune aptitude pour l'apprendre, lui donne un diplôme, ce dernier a complété son éducation d'homme comme il faut. »
« De même qu'un singe qui prend ses ébats dans la forêt saisit une branche puis l'abandonne aussitôt pour se raccrocher à une autre, ainsi, ce que vous nommez pensée, connaissance, se forme et se dissout sans cesse. »
« L'utopie n'est que le nom donné aux réformes lorsqu'il faut attendre les révolutions pour les entreprendre. »
« La mer ne prend que les cités qui s'abandonnent. »
« Etant donné que nous vivons dans un monde corrompu par l'argent, tout ce qui est gratuit est bon à prendre. »
« La pensée d'une femme est douée d'une incroyable élasticité. Quand elle reçoit un coup d'assommoir, elle plie, paraît écrasée, et reprend sa forme dans un temps donné. »
« Maintenant, ils peuvent prendre de la graisse de vos fesses, et la réutiliser pour remplir les rides que vous avez sur la figure. Cela donne un tout nouveau sens à la danse joue contre joue. »
« Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour nous apprendre à dire seulement la moitié de ce que nous entendons. »
« Donne un poisson à un homme et il mangera une journée.Apprends à un homme à pêcher et il passera ses journées dans une barque à boire de la bière. »
« On ne choisit pas l'amour. C'est lui qui nous prend, nous subjugue, nous arrache à nous-mêmes. A-t-on du mérite à se donner quand on ne peut pas faire autrement. »
« C'est un travail curieux que de démêler chez un jeune les influences des arrivés. Que de mal on se donne avant de prendre son originalité chez soi, tout simplement. »