« La médecine est la seule carrière qui travaille sans relâche à détruire la raison de son existence. »
« Il faut un minimum de satisfaction et de bonheur pour qu'un être humain survive. »
« La médecine systématique me paraît (et je ne crois pas employer une expression trop forte) un vrai fléau du genre humain. »
« L'art de la guerre est, comme celui de la médecine, meurtrier et conjectural. »
« La Nature, dans son inépuisable fécondité, est le plus précieux allié des médecins et se charge, sans en rien dire, de réparer leurs fréquentes erreurs. »
« Le meilleur médecin c'est celui qui nous guérit, pas celui qui nous empêche d'être malade. »
« Le soir j'étais triste car j'avais mangé des anchois. Le matin le médecin me réconforta ; pourquoi être triste ? Après tout, j'ai mangé les anchois, les anchois ne m'ont pas mangé. »
« L'excès est la nourrice des médecins. »
« Je n'ai jamais permis les critiques. On demande à un médecin qu'il guérisse la fièvre et non qu'il fasse une satire contre elle. »
« Un mari est un emplâtre qui guérit tous les maux des filles. »
« Rien ne dégoûte de la vie comme de feuilleter un dictionnaire de médecine. »
« Notre grande erreur est de croire que le médecin, l'avocat et le prêtre ne sont pas des hommes comme les autres. »
« En médecine, le cabriolet est plus nécessaire que le savoir. »
« Ce qu'on cherche à comprendre, souvent, on le tue, car, comme chez l'apprenti médecin, il n'y a pas de véritable connaissance sans dissection. »