« Il y a une limite au bonheur qu'on peut tirer de son travail. On est même d'autant plus heureux qu'on passe moins de temps au travail. »
« Il faut être trois pour apprécier une bonne histoire. Un pour la raconter bien, un pour la goûter, et un pour ne pas la comprendre... Car le plaisir des deux premiers est doublé par l'incompréhension du troisième. »
« Le travail a des exigences étonnantes, et que l'on ne comprend jamais assez. Il ne souffre point que l'esprit considère des fins lointaines; il veut toute l'attention. Le faucheur ne regarde pas au bout du champ. »
« Je ne souhaite pas atteindre l'immortalité grâce à mon oeuvre. Je veux l'atteindre en ne mourant pas. »
« Le tyran n'aime pas qu'on raisonne; et c'est qu'il craint en lui-même un raisonneur, qui se tournerait contre lui. »
« Il vaut mieux ne pas penser que penser hors de soi. »
« Dans votre ascension professionnelle, soyez toujours tres gentil pour ceux que vous dépassez en montant. Vous les retrouverez au même endroit en redescendant. »
« Un homme d'esprit de ma connaissance voudrait qu'on étudiât et qu'on enseignât l'histoire à rebours, c'est-à-dire en commençant par notre temps et remontant de là aux siècles passés; cette idée me paraît très juste et très philosophique. »
« Vous ne résoudrez peut-être pas tous vos problèmes en adoptant une attitude positive, mais vous agacerez tellement de gens que cela en vaudra la peine. »
« La mort est un état de non-existence. Ce qui n'est pas n'existe pas. Donc la mort n'existe pas. »
« La vie, ce n'est pas sérieux, on y entre sans le demander, on en sort sans savoir où on va, on y reste sans savoir ce qu'on y fait. »
« Ce n'est vraiment pas être un gentleman que de frapper une femme en gardant son chapeau sur la tête. »
« La fonction de penser ne se délègue pas. »
« Chaque heure qui passe est une heure creuse. En particulier l'heure du déjeuner. »