« En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. »
« Rien n'exprime mieux la joie que le silence. Si j'ai pu dire combien grand était mon bonheur, c'est qu'il était petit. »
« L'amitié est bien plus exigeante que l'amour et l'idée que nos amis se font de nous, nous prive de combien de faiblesses délicieuses. »
« Combien de fois abandonnons-nous notre chemin, attirés par l'éclat trompeur du chemin d'à côté ? »
« Il est bon de noter combien la charge affective des mots : bien-être, joie, plaisir est différente. Le bien-être est acceptable, la joie est noble, le plaisir est suspect. »
« Les amis de nos amis peuvent devenir odieux, à force de nous représenter combien les êtres dont nous nous croyons proches sont des inconnus. »
« Combien avaient raison les Anciens qui n'avaient qu'un même dieu pour les marchands et les voleurs. »
« Cette femme est belle et intelligente : hélas, combien elle serait devenue plus intelligente si elle n'était pas belle. »
« N'est-il pas diablement aisé de se prendre pour un grand homme quand on ne soupçonne pas le moins du monde qu'un Rembrandt, un Beethoven, un Dante ou un Napoléon ont jamais existé ? »
« Combien de larmes, de souffrances, de drames ont causé notre artificielle conception de la famille et du mariage ! »
« Il en coûte trop cher pour briller dans le monde,Combien je vais aimer ma retraite profonde ! Pour vivre heureux vivons cachés. »
« Par sa nature même, la vérité porte l'évidence en soi. Dès qu'on la débarrasse des toiles d'araignée de l'ignorance, elle brille avec éclat. »
« L'artiste ne saura jamais assez combien de richesses gisent dans les terrains abandonnés de son enfance, et combien la reconquête de ces zones d'ombre restera toujours la clef de ses multiples problèmes. »
« Les femmes aussi ont leurs saisons. L'été ne dure pas toujours et après l'été... Ah oui ! Les splendeurs de l'automne ! Mais combien éphémères !! Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne ? »