« Il nous faut dorénavant une éducation personnelle, et non pas une attitude morale inculquée. »
« Les racines, c'est aussi les morts. »
« Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles. »
« C'est très délicat, la garde d'un amant. C'est aussi compliqué que la garde et l'éducation d'un enfant. »
« Quel est donc cet instinct moral qui apprend à l'homme sans éducation, que la récompense de ces actions est dans le cœur de celui qui les a faites ? Il semble qu'en nous les payant, on nous les ôte. »
« L'éducation est pour les gens heureux une parure, pour les malheureux un refuge. »
« Seules les femmes, les mères, savent ce qu'est le verbe attendre. »
« On rétablira la morale publique, pas seulement en donnant l'indépendance au juge. On la rétablira en réhabilitant l'éducation civique. »
« Nos mères sont nos enfants et nous voulons que nos enfants soient nos mères. »
« Nos actes ne sont éphémères qu'en apparence. Leurs répercussions se prolongent parfois pendant des siècles. La vie du présent tisse celle de l'avenir. »
« Je vois des mémères dans les stations de sports d'hiver qui feraient mieux de faire de l'avalanche que du ski. »
« Il y a dans l'aveu public des angoisses du cœur, et de ses voluptés non moins amères, une vanité et une profanation gratuites. »
« Les femmes aussi ont leurs saisons. L'été ne dure pas toujours et après l'été... Ah oui ! Les splendeurs de l'automne ! Mais combien éphémères !! Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne ? »
« Croire à l'existence d'un fait imaginaire engendre des chimères. Entretenir des chimères provoque des utopies. »