« Les abus de la liberté tueront toujours la liberté. »
« La lecture, c'est comme les auberges espagnoles, on n'y trouve que ce que l'on y apporte. »
« Les femmes détestent l'amitié. La température y est trop basse: c'est un pays où elles s'enrhument. »
« Si ton épée est trop courte, allonge-là d'un pas. »
« Il y a beaucoup d'hommes qui se marient, comme on devient fonctionnaire. »
« Le vrai mal de la vieillesse n'est pas l'affaiblissement du corps, c'est l'indifférence de l'âme. »
« On est toujours plus vieux que sa femme, surtout lorsqu'on a épousé une femme plus âgée que soi. »
« Ecouter sans protester un tiers dire du mal d'un ami, c'est déjà trahir. »
« Le bonheur n'a jamais eu la prétention d'amuser ; il n'amuse même pas toujours ceux qu'il rend heureux. »
« Un soir consacré à la lecture des grands livres est pour l'esprit ce qu'un séjour en montagne est pour l'âme. »
« Les Irlandais. Ce peuple est si malheureux qu'il a toujours festoyé la mort comme une amie, et que nul danger ne peut l'éloigner d'une cérémonie funèbre. »
« Les premiers mouvements du désir communiquent aux idées le charme naturel et puissant des caresses. »
« Si belle qu'ait été une vie, il y a toujours un immense écart entre l'existence qu'avait rêvée l'adolescent et celle qu'a connue l'homme. »
« La mort nous trouvera bien partout où nous irons. La mort, c'est lorsqu'on la fuit qu'elle s'attache à nos pas ! Il est bien rare que ceux qui la désirent la voient venir. »