« Laissez-moi fuir la menteuse et criminelle illusion du bonheur ! Donnez-moi du travail, de la fatigue, de la douleur et de l'enthousiasme. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« Quand une femme est la douceur et le trouble, l'amusement et la gravité, la nouveauté et la mémoire, le voyage et la demeure... Quel homme digne de ce nom refuse ce miracle et choisit de fuir en invoquant l'inconfort d'aimer ? »
« La lumière est dans le livre. Ouvrez le livre tout grand. Laissez-le rayonner, laissez-le faire. »
« On peut tout fuir, sauf sa conscience. »
« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. »
« Faire le bien sans chercher de récompense ; fuir le mal sans craindre le châtiment : homme rare sous le ciel. »
« On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l'affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié. »
« Un homme digne de ce nom ne fuit jamais. Fuir, c'est bon pour les robinets. »
« Laissez-les me jeter la pierre. Les tas de pierres, c'est le commencement du piédestal. »
« Laissez-moi seul juger de ce qui m'aide à vivre. »
« Laissez ceux que je sers exprimer leurs remerciements en fonction de leur éducation et de leur sens de l'honneur. »
« A quoi bon fuir ? Oui, à quoi bon ? Puisque nul ne peut se quitter lui-même. Toute la sagesse de vivre tient là-dedans : savoir qu'il faut en sortir mais qu'on ne peut pas partir... »
« L'éducation doit chercher sa voie entre le Scylla du laissez-faire et le Charybde de l'interdiction. »