« L'homme du siècle demande des lois et des institutions de convalescence, qui le brident sans le briser, qui le conduisent sans l'écraser. »
« Vivre d'abord, philosopher ensuite. »
« Ah ! Les petites maladies de l'enfance qui vous laissent quelques jours de convalescence, à lire au lit des Bugs Bunny ! Hélas, quand on vieillit, les plaisirs de la maladie deviennent rares. »
« Philosopher c'est apprendre à vivre, non à mourir. Pourquoi apprendrait-on à mourir, d'ailleurs, puisque on est sûr d'y arriver, puisque c'est le seul examen, comme disait un vieux professeur, que personne n'ait jamais raté? »
« Convalescence: état de béatitude fort enviable, pour peu qu'il ne soit précédé d'aucune maladie. »
« Pourquoi philosopher alors qu'on peut chanter ? »
« Une convalescence est comme un fruit qui mûrit... »
« On ne peut apprendre la philosophie, on ne peut qu'apprendre à philosopher. »
« Disons-le hardiment, philosopher c'est expliquer... Le clair par l'obscur, clarum per obscurius. »
« Philosopher c'est chercher l'essentiel inaperçu. »
« Disons-le hardiment, philosopher, c'est expliquer au sens vulgaire des mots, le claire par l'obscur. »
« Ceux qui, au sens droit du terme, se mêlent de philosopher, s'exercent à mourir. »
« Il y a des médecins si ennuyeux qu'ils vous gâtent une convalescence. »
« Imagine-t'on Socrate en train de philosopher sur le sens de la vie s'il avait été obligé de pointer tous les matins comme magasinier d'une usine produisant des pâtés en croûte? »