« A Honolulu, il y a tout ce qu'il faut : du sable pour les enfants, du soleil pour les épouses, des requins pour les belles-mères. »
« Aujourd'hui, à quinze ans les petites filles sont des femmes. Tout le monde le sait, sauf les mères ! »
« On pardonne à un être sur quelques minutes, comme à un livre sur quelques phrases. »
« Les après-guerre sont faites pour enterrer les morts et trouver quelques belles phrases. »
« La vraie fête des mères, c'est l'anniversaire de leurs enfants. »
« Pour faire une pièce amusante, le grand secret est d'être paresseux. Alors au lieu de faire des phrases, on fait des mots. »
« Les despotes eux-mêmes ne nient pas que la liberté ne soit excellente ; seulement ils ne la veulent que pour eux-mêmes, et ils soutiennent que tous les autres en sont indignes tout à fait. »
« Comprendre le sens d'un mot, c'est savoir quelles phrases il est possible de construire à partir de lui. »
« La fête des mères est un prétexte, car on fête toute l'année sa maman. »
« L'amour de notre langue s'identifie avec l'amour des mères qui nous l'apprennent ! »
« On parle à une femme, on lui dit des phrases en sachant bien qu'elle ne comprend pas, comme on parle à un chien ou à un chat. »
« Si la théorie de l'évolution est vraie, comment se fait-il que les mères de famille n'aient toujours que deux mains ? »
« Toutes nos phrases sont dictées par les nécessités et les illusions de notre situation concrète. »
« D'un côté il y a les chiffres pairs, et de l'autre côté, les chiffres mères. »