« L'homme veut être le premier amour de la femme, alors que la femme veut être le dernier amour de l'homme. »
« Il y a deux genres de personnes, ceux qui font le travail et ceux qui en prennent le crédit. Tentez d'être du premier groupe ; il y a moins de compétition. »
« Quand on ne fait pas tout pour être le premier, le devenir ou le rester, on ne demeure pas le deuxième. On tombe fatalement le dernier. »
« Le plus grand bonheur que puisse donner l'amour, c'est le premier serrement de main d'une femme qu'on aime. »
« La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat. »
« Trois allumettes, une à une allumées dans la nuit - La première pour voir ton visage tout entier - La seconde pour voir tes yeux - La dernière pour voir ta bouche - et l'obscurité toute entière pour me rappeler tout cela - en te serrant dans mes bras. »
« Le premier travail d'un manager n'est pas d'apporter la motivation mais de supprimer les obstacles. »
« La perte d'une mère ou d'un père est le premier chagrin que l'on pleure sans eux. »
« Les trente premières années se passent à ne pas pouvoir se réveiller, les trente suivantes à ne pas pouvoir s'endormir. »
« Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l'on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l'on naît à l'amour. »
« Le bonheur à deux exige une qualité très rare d'ignorance et d’incompréhension réciproque pour que l'image merveilleuse que chacun avait inventé de l'autre soit intacte comme au premier instant »
« Christophe Colomb fut le premier socialiste : il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait... Et il faisait tout ça aux frais du contribuable. »
« Je voyais donc l'imagination à sa naissance, l'imagination qui n'est que naissance, car elle n'est que le premier état de toutes nos idées. C'est pourquoi tous les dieux sont au passé. »
« Nos premiers maîtres de philosophie sont nos pieds, nos mains, nos yeux. Substituer des livres à tout cela, ce n'est pas nous apprendre à raisonner, c'est nous apprendre à nous servir de la raison d'autrui. »