« J'ai cueilli ce brin de bruyère - L'automne est morte souviens-t'en - Nous ne nous verrons plus sur terre - Odeur du temps brin de bruyère - Et souviens-toi que je t'attends. - Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile. »
« La terre nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu'elle nous résiste. L'homme se découvre quand il se mesure avec l'obstacle. »
« Entre les rivages des océans et le sommet de la plus haute montagne est tracée une route secrète que vous devez absolument parcourir avant de ne faire qu'un avec les fils de la Terre. »
« Désormais la solidarité la plus nécessaire est celle de l'ensemble des habitants de la Terre. »
« Il y a plus de larmes versées sur la terre qu'il n'y a d'eau dans l'océan. »
« L'homme est le plus grand prédateur que la terre ait connu. L'animal tue pour se nourrir, l'homme tue par convictions. »
« Perdre la foi de son enfance est un vrai malheur, car il n'y a rien sur terre qui puisse relever l'homme qui, pour horizon, n'a plus que le tombeau. »
« Achetez de la terre, on n'en fabrique plus. »
« Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale. »
« Aller droit devant soi tout autour de la terre est le plus court chemin pour atteindre le lieu où l'on se trouve déjà. »
« A terre, même dans les moments les plus sombres, la vie recommence toujours le lendemain. En mer, lors d'une tempête, on éprouve un sentiment de piège pour l'éternité. »
« Londres est une ville de brouillards et de charbon de terre : au bout de huit jours, une chemise n'y est plus mettable. »
« Je me tiendrai toujours plus obligé à ceux par la faveur desquels je jouirai sans empêchement de mon loisir, que je ne ferais à ceux qui m'offriraient les plus honorables emplois de la terre. »
« Les hommes ne sont point faits pour être entassés en fourmilières mais épars sur la terre qu'ils doivent cultiver. Plus ils se rassemblent, plus ils se corrompent.... Les villes sont le gouffre de l'espèce humaine. »