« Les vrais amis sont ceux qui mêlent leur confiance réciproque, leurs pensées et leurs rêves, leurs vertus comme leurs bonheurs et leurs souffrances, libres de se séparer toujours et ne se séparant jamais. »
« Citer les pensées des autres, c'est regretter de ne pas les avoir trouvées soi-même. »
« Les maisons de retraite, c'est comme les colonies de vacances sauf qu'il n'y aura pas de rentrée des classes. »
« Oh quel bien-être, quel bien-être indicible que de se sentir en sécurité avec quelqu'un à l'abri de tout danger, sans avoir à peser ses pensées, à mesurer ses paroles. »
« Crise d'adolescence : en réalité, le seul moment où l'homme, ayant mesuré son destin, est tenté d'aller jusqu'au bout de ses pensées. »
« Ton christ est juif, ta pizza est italienne, ton café est brésilien, ta voiture est japonaise, ton écriture est latine, tes vacances sont turques, tes chiffres sont arabes et... Tu reproches à ton voisin d'être étranger ! »
« La vérité vit à crédit. Nos pensées et nos croyances passent comme monnaie ayant cours tant que rien ne les fait refuser, exactement comme les billets de banque, tant que personne ne les refuse. »
« En amitié, toutes pensées, tous désirs, toutes attentes naissent sans parole et se partagent souvent dans une joie muette. »
« Réfléchir, c'est déranger ses pensées. »
« La poésie est aux sentiments ce que la philosophie est aux pensées. »
« Les vacances ? Dès le deuxième jour, l'ennui commence sitôt le petit-déjeuner expédié. On va acheter des cartes postales qu'on adresse à des truffes qui s'ennuient autre part en vous écrivant les mêmes. »
« Les mères de famille sont les seuls travailleurs qui n'ont jamais de vacances. »
« La civilisation se mesurera aux mois de vacances que les travailleurs arracheront aux patrons. »
« Il n'est rien qui soit pour un homme plus infinie torture que ses propres pensées. »