« Après le bonheur de commander aux hommes, le plus grand honneur, Monsieur, n'est-il pas de les juger? »
« J'imagine un cocu disant: - - Ce qui m'exaspère, c'est de penser que ce monsieur sait maintenant de quoi je me contentais! »
« Monsieur le capitaliste affirme, sournois :"C'est le destin qui fait les pauvres". »
« Quand un monsieur vous a tout donné, la moindre des choses, c'est de lui rendre la monnaie de sa pièce. »
« Ah, morbleu! Mêlez-vous, monsieur, de vos affaires. C'est de sa trahison n'être que trop certain, Que l'avoir, dans ma poche, écrite de sa main. »
« La sagesse du moine de Rabelais est la vraie sagesse, pour son repos et pour celui des autres: faire son devoir tellement quellement; toujours dire du bien de Monsieur le Prieur, et laisser aller le monde à sa fantaisie. »
« Un croque-mort est un monsieur qui ne peut avoir que des indigestions. »
« Nos réflexions. Elles sont le fruit de notre commerce avec les autres, du frottement de notre intelligence avec la leur et du travail souterrain que nos lectures et nos conversations effectuent en nous. »
« Quelques exemples rapportés en peu de mots, et à leur place, donnent plus d'éclat, plus de poids, et plus d'autorité aux réflexions: mais trop d'exemples et trop de détails énervent toujours un discours. »
« Vous êtes orfèvre, Monsieur Josse, et votre conseil sent son homme qui a envie de se défaire de sa marchandise. »
« Un optimiste est un homme qui épouse sa secrétaire en s'imaginant qu'il pourra continuer à lui faire des réflexions sur sa mauvaise orthographe. »
« A chaque terrible époque humaine, on a toujours vu un monsieur assis dans un coin, qui soignait son écriture et enfilait des perles. »
« Si les souteneurs et les voleurs étaient toujours et partout condamnés, les honnêtes gens se croiraient tous et sans cesse innocents, cher monsieur. Et selon moi... C'est surtout cela qu'il faut éviter. »
« Vous savez, quand un monsieur inconnu ramène chez vous votre mari mort, dynamite la salle de bains et jette les visiteurs par la fenêtre, on prend l'habitude de ne plus s'étonner de grand'chose... »