« Non, je ne crains pas la mort. Seulement, je trouve que la providence a mal arrangé les choses. Ainsi je préférerais de beaucoup qu'on enterre mon âme et que ce soit mon corps qui soit immortel. »
« Ce que je préférerais, c'est d'aimer la terre comme l'aime la lune et de n'effleurer sa beauté que des yeux. »
« Traitez les gens comme s'ils étaient ce qu'ils devrait être, et vous les aiderez ainsi à devenir ce qu'ils peuvent être. »
« La femme, ainsi, était toujours la bête de luxure, dont le prêtre simplement se servait aujourd'hui pour assurer le règne de Dieu. »
« Vois comme cette petite chandelle répand au loin sa lumière ! Ainsi rayonne une bonne action dans un monde malveillant. »
« La haine n'est pas un bas sentiment, si l'on veut bien réfléchir qu'elle ramasse notre plus grande énergie dans une direction unique, et qu'ainsi, nécessairement, elle nous donne sur d'autres points d'admirables désintéressements. »
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser. »
« En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »
« Il ne faut pas penser à l'objectif à atteindre, il faut seulement penser à avancer. C'est ainsi, à force d'avancer, qu'on atteint ou qu'on double ses objectifs sans même sans apercevoir. »
« L'habitude de rentrer en moi-même me fit perdre enfin le sentiment et presque le souvenir de mes maux, j'appris ainsi par ma propre expérience que la source du vrai bonheur est en nous. »
« Ainsi les derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers. »
« L'accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l'homme. Ainsi, il souffre moins. »
« Son whisky était si extraordinaire que quand il en buvait, il parlait écossais. »
« Le cœur a besoin d'un répit pour devenir capable de battre la chamade ; de l'immobilité au galop effréné, il faut des pauses pour retrouver sa respiration et laisser ainsi son cœur prendre de la vitesse. »