« Lors de mon arrivée en Grande-Bretagne, les Anglais étaient grands, minces et taciturnes, tandis qu'aujourd'hui ils sont grands, minces et taciturnes. »
« Une chaumière, un cœur, avec des lauriers roses et des pommiers fleuris, avec des poules et des lapins, comment ne pas adorer cela? - Et je l'adore - à condition qu'il y ait aussi de quoi écrire une ou deux pièces de théâtre. »
« La recherche est un processus sans fin dont on ne peut jamais dire comment il évoluera. L'imprévisible est dans la nature même de la science. »
« Quand on se lève le matin personne ne sait d'avance comment la journée va se passer. Mais il faut se lever pour le savoir. »
« La mer, c'est comme la vie. On craint toujours le pire, on est au désespoir, et soudain, sans qu'on sache trop comment, tout s'arrange. »
« Comment peut-on s'élever si ce n'est lentement, d'échelon en échelon ? Et à quoi bon le succès passager, mais si malhabile qu'il interdirait tout lendemain ? »
« Moi je tiens aussi à l'héritage de Mai 68 pour, comment dirais-je, les libertés, la créativité, et en particulier pour les droits des femmes... »
« Davantage de maris partiraient s'ils savaient comment faire leurs valises. »
« Si ce n'est par l'union de deux corps, comment ferait-on l'homme ? »
« J'ai toujours rêvé d'un ordinateur qui soit aussi facile à utiliser qu'un téléphone. Mon rêve s'est réalisé : je ne sais plus comment utiliser mon téléphone. »
« Les opinions sont faites pour changer ; sinon comment atteindre la vérité ? »
« Je suppose que les événements ne sont qu'une sorte de commentaire de nos sentiments - on peut déduire ceux-ci de ceux-là. »
« A deux on possède mieux la vie, on s'en échange les contraintes, on passe du pourquoi au comment. »
« Aucun ingénieur ne regarde une télécommande sans se demander comment faire pour la transformer en un pistolet hypodermique. »