« Ce qui me turlupine, c'est d'être mis en bière sans alcool... Surtout en cas de mort subite ! »
« Tout est humain, surtout les faiblesses, les lâchetés. »
« Il faut prendre très tôt de bonnes habitudes, surtout celle de savoir changer souvent et facilement d'habitudes. »
« La première impression est toujours la bonne, surtout quand elle est mauvaise. »
« Les maximes générales sont surtout bonnes contre les peines et les erreurs du voisin. Mais contre une fureur d'amour trompé ou d'ambition, ou d'envie, que pourrait une maxime ? Autant vaudrait, contre la fièvre, lire l'ordonnance du médecin. »
« Le mensonge a souvent plus de force que la vérité, surtout auprès des femmes. »
« Le sentiment que l'homme supporte le plus difficilement est la pitié, surtout quand il la mérite. La haine est un tonique, elle fait vivre, elle inspire la vengeance; mais la pitié tue, elle affaiblit encore notre faiblesse. »
« Mais si vous souhaitez que je perde le souvenir de votre dernière fredaine, je vous recommande surtout de régaler d'un bon visage cette personne-là, et de lui faire enfin tout le meilleur accueil qu'il vous sera possible. »
« C'est dans la plus grande fortune qu'on a le moins de liberté : elle interdit la partialité, la haine et surtout la colère. »
« Il faudrait arriver à n'avoir que des tentations relativement nobles. Et à ce moment-là, il est urgent d'y succomber. Même si c'est dangereux. Même si c'est impossible. Surtout si c'est impossible. »
« Contrairement à une opinion massivement répandue, surtout dans la gauche européenne, la paix n'est pas le bien suprême, l'objectif sacré et permanent de toute politique de progrès et de solidarité. »
« Qui viendra défaire ma bibliothèque quand j'aurai quitté ce monde? Je ne lui en veux surtout pas. Qu'il sache que j'ai trouvé dans la fréquentation des livres un incommensurable réconfort. »
« La jalousie des femmes est incommensurable, surtout lorsqu'elles restent entre elles. »
« La civilisation n'est que l'usage efficace du corps, et surtout du système nerveux. Le trait qui distingue l'homme éduqué du barbare, c'est le contrôle de l'imagination, des démons, des rêves. »