« La politique n'a pas sa place dans la salle de cours d'une université. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Malgré les épreuves il faut continuer de sourire à la vie. Autrement, elle se fâche et coupe vite le courant à ceux qui ont cessé de croire en elle et de l'aimer dans la souffrance comme dans la joie. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« La vérité des hommes est essentiellement relative, aussi il faut y croire et l'aimer quand même. »
« Si nous attribuons les phénomènes inexpliqués au hasard, ce n'est que par des lacunes de notre connaissance. »
« Faire du théâtre exige une double aptitude : à la révolte et à l'admiration. »
« C'est terrible, le commerce des grandes oeuvres ; où trouver l'énergie et la certitude d'avoir encore à écrire quand on fréquente Sophocle et Shakespeare ? »
« La scène n'est là que pour révéler le spectacle à lui-même. »