« Les maladies qui proviennent de la méchanceté du cœur féminin sont : une indocilité sans modestie, la colère facile, le goût de médire, la jalousie, l'intelligence courte. »
« Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien. »
« Nous avons construit un monde où l'intelligence est la premières des facultés, où la science et la technique nous tirent en avant et nous chutons, en produisant plus de misères, de famines, de maladies. »
« La terre a une peau et cette peau a des maladies ; une de ces maladies s'appelle l'homme. »
« Ce qui distingue un homme sain d'un aliéné, c'est précisément que l'homme sain a toutes les maladies mentales, et que l'aliéné n'en a qu'une. »
« En parcourant un livre de médecine, on s'imagine avoir toutes les maladies qu'il décrit, de même, en lisant l'ouvrage d'un moraliste, on découvre tous les travers qu'il signale... Mais chez les autres ! »
« Une âme contemplative est à charge à tous les désoeuvrés remuants qui couvrent la terre : l'imagination et le recueillement sont deux maladies dont personne n'a pitié. »
« Ah ! Les petites maladies de l'enfance qui vous laissent quelques jours de convalescence, à lire au lit des Bugs Bunny ! Hélas, quand on vieillit, les plaisirs de la maladie deviennent rares. »
« Il y a des maladies qui sont saines. »
« Dans le gouvernement comme dans le corps humain, les maladies les plus graves viennent de la tête. »
« Un bon repentir est le meilleur médicament contre les maladies de l'âme. »
« C'était un honorable praticien qui guérissait les malades de toutes les maladies, excepté de celle dont ils mouraient. »
« Bérenger: Vous avez tort de ne pas croire à la médecine. - Jean: Les médecins inventent des maladies qui n'existent pas. - Bérenger: Cela part d'un bon sentiment. C'est pour le plaisir de soigner des gens. »
« Qu'il ne soit venu à l'idée de personne que le cerveau, ordinateur de notre organisme, puisse être responsable de toutes les maladies est tout de même étrange à l'ère de l'informatique. »