« Quand vous réalisez que la nature peut vous tuer, vous devenez humble. »
« Est-ce qu'il faut tuer ce qu'on ne comprend pas ? »
« Nos premiers maîtres de philosophie sont nos pieds, nos mains, nos yeux. Substituer des livres à tout cela, ce n'est pas nous apprendre à raisonner, c'est nous apprendre à nous servir de la raison d'autrui. »
« Non, les accidents de la route ne sont pas dus à l'alcool, ils sont dus à la voiture. La preuve : mettez un alcoolo dans un fauteuil roulant, il ne tuera personne. »
« Un grain de poésie suffit à parfumer tout un siècle. »
« Un Etat qui n'a pas les moyens d'effectuer des changements n'a pas les moyens de se maintenir. »
« L'amour, même le plus léger, ne peut que parfumer la place où l'amitié un jour se posera. »
« Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront. »
« Pour s'endurcir, il faut soumettre le corps à beaucoup d'effort et de fatigue, et s'habituer à résister à tout ce qui peut l'affecter, quelque rudement que ce soit. »
« L'homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique. »
« Le dialogue paraît en lui-même constituer une renonciation à l'agressivité. »
« Il revient à l'homme d'habiller la femme qu'il déshabille et de parfumer celle qu'il enlace. Comme il lui revient de défendre au péril de sa vie le pas fragile qui s'est attaché au sien. »
« Pour tirer le meilleur parti des connaissances acquises, pour en extraire toute la richesse, il importe de ne pas s'y habituer trop vite, de se laisser le temps de la surprise et de l'étonnement. »
« Il faut abattre le libéralisme, car il donne des armes à ceux qui veulent lui substituer l'autoritarisme. »