« Que de gens lisent et étudient non pour connaître la vérité, mais pour augmenter leur petit moi. »
« En amour, être français, c'est la moitié du chemin. »
« Je suis tellement heureux lorsque je me promène dans les bois, parmi les arbres, les fleurs et les rochers. Personne n'aime la campagne autant que moi. Ici, la surdité ne me préoccupe plus. »
« Du mois de mai la chaleur, - De tout l'an fait la valeur. »
« Les plus belles découvertes cesseraient de me plaire si je devais les garder pour moi. »
« La mémoire de ma mère et ses enseignements ont été, après tout, le seul capital dont j'ai disposé pour affronter la vie. Et ce capital m'a fait devenir ce que je suis. »
« Les lieux sont aussi des liens. Et ils sont notre mémoire. »
« Il arrive que, de se croire aimé, on vienne à aimer moins. »
« Nul n'est moins disposé qu'un égoïste à tolérer l'égoïsme qui partout lui suscite d'intraitables concurrents. »
« Sel de mai, sel de ce mois, - N'enrichit pas le bourgeois. »
« Le secret du bonheur ne consiste pas à rechercher toujours plus, mais à développer la capacité d'apprécier avec moins. »
« Supprimons l'instruction obligatoire pour le sexe aimable et il pensera un peu moins à prendre aux hommes les places qui leur reviennent. »
« Poursuivre le bonheur, au lieu de le laisser venir, n'est-ce pas courir après le reflet d'un mot ? En fait, les hommes seraient plus heureux si on leur parlait moins de bonheur ! »
« L'amour ! Alors on aime un appareil respiratoire, un tube digestif, des intestins, des organes d'évacuation, un nez qu'on mouche, une bouche qui mange, une odeur corporelle ? Si on pensait à cela, comme on serait moins fou ! »