« Pour qui a des racines, fuir n'a pas grand sens, puisqu'il implique un retour. »
« L'art, c'est la plus sublime mission de l'homme, puisque c'est l'exercice de la pensée qui cherche à comprendre le monde et à le faire comprendre. »
« Il n'est rien de plus précieux que le temps, puisque c'est le prix de l'éternité. »
« O santé ! Santé ! Bénédiction des riches ! Richesse des pauvres ! Qui peut t'acquérir à un prix trop élevé, puisqu'il n'y a pas de joie dans ce monde sans toi ? »
« Oui, c'est être constant que d'adorer l'amour, et ce n'est pas changer de goût que de changer de femme puisque les femmes changent. »
« Les connaissances gastronomiques sont nécessaires à tous les hommes puisqu'elles tendent à augmenter la somme des plaisirs qui leurs est destinée. »
« Un tel est mort. Pourquoi irai-je à son enterrement puisque, j'en suis certain, il n'ira pas au mien ? »
« Nous sommes tous les deux près du ciel, Madame,Puisque vous êtes belle et puisque je suis vieux. »
« Il n'y a pas de délire d'interprétation puisque toute interprétation est un délire. »
« Les poètes tentent de greffer aux hommes d'autres yeux et de transformer ainsi le réel. Aussi sont-ils des éléments dangereux pour l'Etat, puisqu'ils veulent transformer. Or l'Etat et ses dévoués serviteurs n'aspirent, eux, qu'à durer. »
« La guerre suppose une grande absence de réflexion égoïste, puisqu'après la victoire, ceux qui ont le plus contribué à la faire remporter, je veux dire les morts, n'en jouissent pas. »
« Certains déserts ne se traversent que dans un sens. »
« Le doute est à la base même du savoir, puisqu'il est la condition essentielle de la recherche de la vérité. On ne court jamais après ce qu'on croit posséder avec certitude. »
« Peut-il y avoir d'autres guerres que des guerres civiles, puisque tous les hommes sont frères ? »