« A propos du sport professionnel : tant et aussi longtemps que l'opium moderne du peuple fera planer, on se bousculera pour en acheter. Et les vendeurs riront jusqu'à la banque. »
Voici une citation pour chacun de ses thèmes similaires :
« Moins j'ai de temps pour tout faire, moins il m'en reste pour ne rien faire. »
« Je disais toujour à mon prof de philosophie - monsieur ce que vous dites n'est pas vrai - tout en oubliant que j'etais à un cour de mensonge. »
« Qui frappe à la porte, entend la réponse. »
« Le grand péché du monde moderne, c'est le refus de l'invisible. »
« Bien sûr que j'ai fait des erreurs. La vie n'est pas livrée avec un mode d'emploi. »
« Vous avez déjà remarqué? Plus les jours sont longs, plus ils nous paraissent courts. »
« Rhinite chronique : Maladie qui a tendance à se prolonger éternuellement »
« Parties communes : Entrejambe de deux frères siamois »
« Les aveugles - Aussi pleurent. »
« Le cheval est dangereux devant, dangereux derrière et inconfortable au milieu. »
« C'est la vanité des hommes qui explique la parure des femmes. »
« Je propose de remplacer le mot "ordinateur" par le mot "ordinacoeur". »
« Les gens heureux n'ont pas besoin de se presser. »
« L'âme rassasiée foulera aux pieds le rayon de miel, et l'âme pressée de la faim trouvera même doux ce qui est amer. »
« N'allez jamais chez un docteur dont les plantes de la salle d'attente sont mortes. »
« Le troisième empereur de la vingt-et-unième dynastie, à qui on apporta des pierres précieuses trouvées dans une mine, la fit fermer, ne voulant pas fatiguer son peuple à travailler pour une chose qui ne pouvait ni le nourrir ni le vêtir. »
« Quand on quitte cette terre, ce n'est pas pour bien longtemps, puisque quelques jours après on vous y remet. »
« La liberté et la vie ne sont gagnées que par ceux qui les reconquièrent chaque jour. »
« Je pense que je suis immortel. Jusque là... Tout va bien ! »
« T'es tombé de ton chariot en chantant le Notre Père. T'y croyais dur comme fer avant de toucher terre. Noyé dans un ruisseau obligé de te taire. Ta carriole et tes chevaux t'ont laissé seul derrière-rière-rière. »
« Ils avoient en abomination les banquets et yvrogneries qu'il faisoit ordinairement, à heure indeue. »
« A force de toujours emprunter le même chemin pour rentrer chez moi, je pense qu'il serait normal qu'un jour je l'achète. »