Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset, lieu-dit de la commune de Canteleu, le 8 mai 1880.
« Il y a toujours après la mort de quelqu'un, comme une stupéfaction qui se dégage, tant il est difficile de comprendre cette survenue du néant et de s'y résigner à y croire. »
« Il faut une vanité peu commune pour qu'on ne s'aperçoive pas que vous en avez. »
« L'ironie n'enlève rien au pathétique. Elle l'outre au contraire. »
« Tabac : Cause de toutes les maladies du cerveau et des maladies de la moelle épinière. »
« Innovation : toujours dangereuse. »
« Alors il y aura un rire immense de désespoir quand les hommes verront ce vide, quand il faudra quitter la vie pour la mort... Pour la mort qui mange, qui a faim toujours. »
« En de certains jours, elle bavardait avec une abondance fébrile. »
« On vit fort bien sans se connaître soi-même, à plus forte raison sans être connu des autres. »
« Pour avoir du talent, il faut être convaincu qu'on en possède. »
« Un chagrin en enlève un autre, on ne sent pas ses engelures quand on a mal aux dents. »
« Le bonheur est comme la vérole : pris trop tôt, il peut gâter complètement la constitution. »
« Latin : est seulement utile pour lire les inscriptions des fontaines publiques. »
« Odeur (des pieds) : signe de santé. »
« Faites-moi des grimaces dans le dos tant que vous voudrez ; mon cul vous contemple. »